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Sombre hère
Dans l'ombre, tu te dissimules
Sombre hère qui rôde sans bruit
Car tu sais qu'on ne t'attend pas.
Personne n'invite un morne trublion.
Loin des soupirs extatiques
Provoqués par ton cousin chamarré,
Des petits cris hystériques
Ponctuent chacune de tes apparitions
Beauté mortifère
Beauté putride obscurément incomprise
Entrelacs de bruns, de gris, de vert et de jaunes vieillis
Fascinant clair-obscur.
Forme sombre duveteuse
Se fondant dans l'obscurité constellée,
Ton doux volettement
Passe trop vite tel le baiser d'un ange déchu
Papillon de nuit
Hante le cœur des ténèbres
Parsème nos rêves de nectar
Nourris-nous de fantasmagories
Viens ce soir me tenir compagnie...
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Commentaires
Tes pensées tourbillonnent
et hier, les miennes étaient raplapla... Tu me diras, aujourd'hui ce n'est pas franchement mieux. Il t'a fait faux bon ? Quel faux-jeton ! Je suis passée t'offrir le café Shoupi... afin que tu ne restes pas toute la journée avec le goût du Colgate lol Bisous ;)Hello Shoupi
pourquoi voulais-tu inviter un sombre hère? Pourquoi pas plutôt un prince charmant?Merci New pour
le café. J'avoue que j'en avais bien besoin pour dissiper mes rêveries noctures et mes envies matinales d'école buissonière.Bonjour Flo
à une heure du matin je ne voyais pas trop ce qui pouvait me rendre visite à part un dark butterfly... Une chouette? Une chauve-souris? Et puis le lierre n'a pas poussé encore assez pour que le prince charmant puisse grimper sur mon balcon. Visiblement ce dernier n'a pas encore compris qu'il pouvait passer par la porte. :-)Bisosu à celle qui parle aux beaux anges éclatantciao shoupi!
décidément on ne dort plus dernièrement... tout le monde a des pensées qui tourbillonnent dans la tête....ciao bisous à toiSur la plage....
Marcher, penser.....G tout quitté il a deux ans pour réaliser ce rêve de vivre au bord de l'eau..C comme un paradis qui ne s'éteint jamais..MAis rien ne c fais facilement mais aujourd'hui je profite..(en réponse a ton comm sur mon blogg..lol).. Bisous tous tendres
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et pourtant les pensées continuent leur cercle infernal. Je dois me lever dans moins de 6 heures, je suis fatiguées, et pourtant elles tourbillonnent... Elles se sont cristallisées autour d'un papi l l on qui n'est jamais venu... Un pâle enchaînement de phrases... pour une nuit trop courte et trop longue, pleine de choses et remplie de vides...